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Images d'archives

 Jeune public 

Quand les semelles s'en mêlent



Un spectacle pour tous ceux qui ont du mal à mettre un pied devant l’autre. 

A partir de 6 ans Représentations scolaires à partir du CP


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Dans la famille d’Emilio, on est cordonnier de père en fils. Emilio aime son métier. Tout le monde vient le voir. Mais voilà, depuis le départ de la jeune danseuse qu’il aime en secret, il délaisse son travail. Il voudrait tant fabriquer cette paire de souliers pour revenir sur ses pas. C’est pour ça qu’il n’avance pas. Heureusement, Slim et Slam, esprits malins des chaussures abandonnées sur les étagères, ne l’entendent pas de cette oreille, et vont aider Emilio à sortir de ce mauvais pas.



Le traitement

Pour cette création, la compagnie a choisi la forme du conte. Si les personnages sont crédibles, l’univers est celui d’une cordonnerie imaginaire. Tout en ‘bonbon chocolat rond’, c’est un décor rêvé, presque sublimé, conçu et imaginé par La Mère François.

Les étagères brun-roux, flanquées de volutes baroques, abritent des chaussures usées en attente. De couleurs vives, elles participent au côté irréel de la cordonnerie.

La lumière composée exclusivement de projecteurs basse-tension accentue l’aspect chaud, doux et chimérique de la scénographie. La chaussure est bien sûr l’objet central de la pièce, mais, quasiment jamais manipulée, elle n’est et ne devient jamais marionnette. Pour l’animer, le jeu des comédiens est privilégié par rapport à la prouesse technique. La truculence des personnages, Madame Martin l’acariâtre et Félicien, l’inventeur fou, la complicité de Slim et Slam et le romantisme d’Emilio, impriment un rythme toujours soutenu et varié.

Les thèmes

Ce conte traite d’un objet du quotidien, la chaussure. Comme tous les objets usuels, son importance est capitale. Nous le savons tous, une chaussure trop petite ou trop grande, c’est insupportable.

Il est curieux de constater que le mot chaussure ne compte pas moins de vingt quatre synonymes selon le Petit Robert, sans parler des expressions du langage courant, telles que : « être à côté de ses pompes », « faire marcher quelqu’un », « trouver chaussure à son pied », « en grandes pompes », « les cordonniers sont les plus mal chaussés », etc... C’est dire l’importance de cet accessoire familier. Autre thème abordé de façon ludique : l’hygiène des pieds. Une scène lui est consacrée, illustrée par la chanson ‘The shoe’s blues’ dans laquelle les souliers du monde revendiquent sur un rythme de ‘blues’, un peu d’amour et de soin.

A travers l’histoire d’Emilio, artisan timide et rêveur, se sont aussi les contradictions et les envies chimériques des hommes, petits ou grands, qui sont évoquées. Vouloir retourner dans le passé. Nous en avons tous rêvé un jour. Pour Emilio, ce rêve devient obsession.

Nostalgique et prisonnier de ses souvenirs, il en oublie l’essentiel, et se coupe tout doucement du monde. La présence bienveillante de Slim et Slam, les esprits des chaussures, l’aidera à sortir de cette torpeur qui l’empêchait de prendre son destin en main.


Extraits de presse

« …Poésie, drôlerie, romantisme…C’est un véritable régal pour les enfants et un rafraîchissement pour les parents ». Le Dauphiné

« C’est gai comme des tongs à fleurs, élégant comme des escarpins et inventif comme des Doc Martin’s. A recommander à tous ceux qui ont parfois du mal à mettre un pied devant l’autre ». Est-Républicain

« …Poésie, drôlerie, romantisme…C’est un véritable régal pour les enfants et un rafraîchissement pour les parents ». Le Dauphiné « Chansons originales, irrésistibles trouvailles, truculence des comédiens, tous les ingrédients sont réunis pour faire de cette pièce un véritable petit bijou ».

Le Républicain Lorrain

« Ce spectacle fourmille de trouvailles…/… Scénographie et mise en scène proposent un univers de dessins animés, dynamique et original, qui fait les délices de tous les publics ».

Vaucluse Hebdo

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